Les années Oran

Publié le par Raymond

-Hello ! Bien sur, si vous êtes d'accord, nous allons écrire ce nouvel article, toujours ensemble, en collationnant tous vos commentaires.

- 1959. Je ne me souviens plus du mois. Em Bon fait remarquer que nous avions fini le trimestre en France, donc c'était début janvier; mais nous sommes allés en classe après la rentrée. Le voyage en avion de Marseille à Oran. Sans souvenirs particulier ?
J'avais remarqué les côtes africaines (surement à l'est d'Oran) aux couleurs chaudes, à l'approche de l'aéroport.

- Nous allons habiter au 3ème étage dans les HLM de St Hubert un quartier d'Oran. C'est situé vers la route de l'aéroport de La Sénia en périphérie de la ville.

On peut voir sur le plan réduit suivant (Grace à Serge avec toujours les agrandissements existants sur le site internet : Cliquez !  ) : 
.St Hubert et la CLO. Notre batiment (il me semble mais la cité CIA n'est pas complète, n'est-il pas Guy ?)
.Médioni (le village nègre ? ) 
.Les Palmiers (le Lycée Technique)
.Les CRS et Les Gardes Mobiles nous encadrent !
.Pour le lycée Ardaillon, AHG va nous dire surement d'aller vers le centre ville par l'Avenue de Valmy (donc voir le site entier en cliquant sur les plans).
.etc...










Au 4ème étage, un jeune couple ont eu un bébé. Parfois, la maman venait faire téter son bébé chez nous. Un intérêt discret d'ado de ma part, un petit rien de gène de sa part mais tout passe bien.
Une fois quelque chose de drôle est arrivé. En fin d'après midi, le mari de retour de son travail, a ouvert notre porte naturellement et est entré dans notre appart. Ce n'est qu'après les "Bonjour"... "Bonjour", qu'il a réalisé n'être qu'au 3ème. " ...xcusez mo." Et prrfttt, il s'est vite esquivé  ;-) 

- Le lycée Ardaillon : Guy prend le bus vers le centre ville (jusqu'à quel arrêt ?) où se trouve son lycée. Ok. Tous les détails sont dans ses commentaires un peu plus loin. 

- Le Lycée Technique d'Oran (quartier des palmiers ? ) : J'y vais à pied à travers rues et terrains vagues. (merci Serge pour la maquette de mon lycée: voir dans les comments. )

- C'est d'ailleurs dans ces terrains vagues que je trouverai les insectes à épingler sur un épais carton classés en lépidoptères, héminoptères, etc... Un des camarades de classe a gagné le "concours" lancé par le prof, en présentant le tout dans une belle boite en bois verni et vitrée ! Est-ce de la concurrence loyale ? 

- Un camarade de classe m'a retrouvé en 2001 grace à internet etc... :  C'est Michel Turco . Quelle bonne mémoire il a ! Il en a retrouvé aussi beaucoup d'autres et co-organisera le rassemblement des anciens du Lycée , à Caderousse à coté d'Orange en 2001 :
A cette occasion nous aprenons qu'un camarade de classe, Pierre Grocolas est devenu le chanteur de quelques tubes de l'époque.   "Fille du vent et du soleil", "Lady Lay", "Elise et moi"etc... et qui passent toujours assez régulièrement encore sur Radio Nostalgie !
En 2007, le succès de la Tournée des idoles des années 60 et 70 marque son retour.


- Le collège de St Hubert (?) Serge Irène Richard Lisette : dites moi tout ...;-) Okay Voir le plan de Serge !
- L'école primaire : C'est à coté du collège.
 
- Mes cours particuliers de mathématiques et d'anglais avec Mr Verdier donc (Cf. les commentaires de AHG
Il fallait prendre le bus à St Hubert, à l'arrêt du stade, vers le centre ville et marcher jusqu'à une vieille bicoque au fond d'une cour.
Mon 1er prix de math (en 5ème uniquement ;-|   Il a fallut que j'aille le présenter à mon prof particulier ! (corvée à cet âge, mais reconnaissance aujourd'hui. De plus c'était un homme charmant et gentil )

- Une fois il a fallut qu'il y ait un entrainement de foot pendant que j'attendais le bus. Evidemment j'étais de + en + captivé par le jeu quand j'ai entendu un coup de klaxon mi-rageur/interrogateur. C'était le chauffeur du bus qui passait et qui s'est arrêté quand même in extrémis à mon bras levé précipitamment. Il a été gentil.

 

- Les Scouts de France (Voir les commentaires de Guy) : La patrouille des aigles (toujours + haut  ), la patrouille des castors ( bon pied, bon oeil )
La patrouille des ...? (il me semble que c'était des chamois).


- Le grand camp d'été Scout à Estoher.
J'y suis retourné ( à nous 4 + la famille d'une soeur d'Hélène), en 1996. Cet été là nous nous sommes intéressé aussi au Llech qui descend du Canigou.
Ce cours d'eau traverse Estoher et est très prisé par les amateurs de canyonning...      

A/R en bateau Oran/Port-Vendres sur lequel il y avait énormément de Scouts de France.

- Le grand rassemblement des scouts ( mais ce n'est pas le jamboree )à coté d'Oran




- Le temps des cerfs-volants. Etait-ce la mode des cerfs-volants qui déferlait en pays pieds noirs ? Ce qui est sur, est qu'il y avait un bon vent que je verrais venant du nord. Pendant des jours et des jours les jeunes et des moins jeunes du quartier s'amusaient et se rivalisaient (à qui irait le plus loin, le plus haut avec le + grand ou le + beau)sur le terrain vague juste à coté de notre bat. M vers la cité de l'Air. Bien sur quelques fois, la ficelle cassait et le C-V disparaisssait au delà des batiments, et nous devions aller le récupérer assez loin.(quand on le retrouvait !)
 C'était des cerfs-volants de forme losange avec une très longue queue.
Nous en construisions nous mêmes, un peu comme celui-ci :























Pour nous dérider, je dirais que la photo suivante semble montrer les retrouvailles récentes avec un de mes amis de là bas : Michel Turco. Nous aurions été faire un pélerinage à St Hubert sur notre fameux terrain vague le jour même d'un rassemblement de cerfs-volants + modernes ! (avec au fond les batiments de la cité de l'Air bien sur.)
( A moins qu'il ne s'agisse de Guy et Jean-Guy )



- Le tennis-club d'Oran à St Hubert. Nous rammassions quelques balles de l'autre coté du grand grillage. Guy dit que la championne française de tennis Françoise Dur, s'y entrainait à cette époque dans sa jeunesse donc. J'ajouterai qu'elle a gagné Wimbledon malgré une tenue de raquette peu académique en revers. 
.


- Les dimanches à la plage des Andalouses.     Gonflage des chambres à air quand nous faisions le plein d'essence dans une station service de El Ençor (?) avant d'arriver sur l'immense longueur de plage déserte.
Nous installons le Marabout (?). Grande tente carrée où nous pouvons être debout à l'intérieur. Il faut bien le planter au centre et l'attacher aux quatres coins pour résister aux coups de vent. Puis nous le fermons entièrement avec une forte toile. Et enfin nous accumulons du sable sur le bas de la toile.
"Sur ces plages d'Oranie, tous les matins d'été ont l'air d'être les premiers du monde..." 
- Albert Camus- dans "Le Minotaure",




Avant le retour, on se rince dans la fontaine publique du hameau (?), où les fatmas viennent remplir leur seau/bidon d'eau vers la même heure. Papa fait alors la police (!) sous l'oeil inquiet d'un vieux (notable ? ) du village.
.La plage d'Arzew est en pente très douce donc on a pied très très loin. C'est impressionnant de patauger dans 15 cm d'eau au milieu de centaines d'autres personnes. 






- Des amis
les Pharamond donc (voir les commentaires de AHG), vivaient dans une maison de fonction située à l'intérieur du périmètre du terrain d'aviation de La Sénia, à 200 m environ du début de la piste d'atterrisage. Au cours d'une des nombreuses soirées chez eux J'ai blessé Irène à la tempe avec une assiette car je m'amusais bêtement à tournoyer dans la cuisine  (Excuses moi encore, Em Nam. Cela me travaille :-( 
J'espère maintenant, après avoir lu le commentaire de Richard,  que ce n'était pas pour faire l'intéressant devant Henriette qui me tournait autour, elle ;-)
Nous (?) avons revu cette famille quelques années après sur la Côte d'Azur. La famille entière en pleine forme  faisait (entre autres)du jogging au milieu des pins. (et c'est vrai que Tata Rosalie m'avait fait la remarque malicieuse que je lorgnais vers les filles)

.Des dimanches, tous ensemble, au barrage de ... avec ses grenouilles et ses moineaux (voir le nom exact et les commentaires vivants ci-après).

.Des amis, les Degonzaga qui habitaient très haut dans la haute tour de Dar Beida ( de 18 étages ? oui voir la photo de Anh Hai plus loin ) Je me rappelle bien de l'oscillation du batiment quand le vent soufflait ( Impressionnant).



- Le tremblement de terre
 (voir les commentaires car j'avais complètement zappé )

- Les Noël et les petits cadeaux : Une orange (?), 2 livres d'aventure de corsaires et de flibustiers. J'ai osé guetter de mon lit superposé la fameuse nuit pour voir le Père Noel ( ou la Mère Noel) disposer dans le noir les cadeaux du lendemain. C'était très discret dans la pénombre avec le clignottement des petites ampoules d'ornement en couleur.



- Une course cycliste :
 
Vous rappellez-vous d' y avoir assisté sur le front de mer, avec Bobet comme vedette ?
Réponses dans les commentaires : Oui , Guy et Serge donnent des indications.



- Les vacances en France :
 transport en bateau A/R Oran-Marseille (ou Port Vendres?). Il faisait beau et chaud. (voir aussi quelques commentaires)



- Les évènements :
.Plasticage d'une voiture d'un voisin de l'escalier d'à coté (Escalier 6 si le notre est le 5 pour Frère N°6), au 1er étage du batiment.
.Une grande manif ( avec les "You...You..." des fatmas) passe en face de notre batiment : des Gardes-Mobiles nous protègent en se mettant en position couché armes pointées, bien avant son passage. (Un half-track positionné à coté d'eux)

. On ( l'O-A-S ?) tue les policiers anciens du VN car on les soupçonne d'être des barbouzes.
. Un ami faisant régulièrement son marché dans le village nègre de Médioni reçoit un coup de hache sur la tête en1962 (?). Il parait que son agresseur a été tellement étonné de ne pas le voir tomber raide mort, qu'il s'est enfuit de suite. (L'ami aurait simplement mis sa main à la tête sur sa plaie et serait parti se faire soigner).
. Un collègue de Papa est exécuté juste à coté de lui sur le trottoir de leurs commissariat. Il s'est jeté à terre tout en sortant son revolver. Mais comme ce n'était pas lui qui était visé le calme est assez vite revenu avec un moment de flottement tout de même car étant policier en civil, les témoins n'ont pas pu savoir de suite sa qualité de représentant de l'ordre !

.Depuis une agression (par 2 algériens en mobylette je crois)devant le lycée technique, celui-ci est fermée.
Qu'en est-il du lycée Ardaillon à cette époque ? Guy nous donne des infos (parfois dramatiques) dans ses commentaires (N°50) très vivants et développés.
et le collège de St Hubert ? Et l'école primaire : Richard ? ;-)


Le Rapatriement :
-Nous allons donc repartir en France en mars(?) 62. Du point de vue de l'Administration, c'est plus sécurisant pour son personnel typé asiatique (il me semble puisque le bruit court que des anciens du Vietnam ont été utilisé comme barbouzes pour contrer l'OAS ! Infos confirmées dans les échanges avec Em Bon Serge hier chez C. notre nièce commune

.Il faut remettre en état l'appartement pour espérer qu'ils nous remboursent la caution du début. Sous le contrôle des parents, nous nous mettons tous à la peinture sur tous les murs de l'appart. (nous dormirons dans nos lits déplacés au centre des chambres ). Une des vitres de la cuisine est en partie cassée depuis quelques mois déjà. Papa l'enlève entièrement et le controleur des HLM  n'y a vu que du feu.

.Le remplissage du container stationné en bas . En fin d'après midi, comme ils étaient vraiment en retard, il a fallut aider les 2 jeunes et leur patron, à descendre les cartons etc...Pour les impressionner, Papa leur a montré un couteau magique en racontant un conte mi-figue mi-raisin devant leurs yeux grands ouverts et fascinés : Un couteau qui va se planter tout seul au centre de sa cible, quand on le lance.
(Il parait qu'à partir de juillet 62 quand la masse des rapatriements se faisait, les containers s'entassaient pendant des mois sans pouvoir partir faute de bateau, sur les quais du port)



- 1962.
 Le départ en Bateau d'Oran vers Marseille, sur le "Ville d'Alger" (nous sommes 2 fois rapatriés) ?

 

 

 

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 Nostalgie 2010 :  Un pélerinage à Notre Dame de Santa Cruz de Nîmes :

 

Tout avait commencé il y a quelques mois avec le projet de Guy avec quelques camarades de classes du lycée Ardaillon d'Oran.


Chaque année en Algérie, le jour de l'Ascension, les Oranais se regroupent en une longue procession pour grimper sur la montagne, vers la basilique Notre Dame du Santa Cruz.

Cette année-ci le jeudi de l'Ascension tombe le 13 mai autre grand jour historique pour les Pieds Noirs. C'est donc un jour important qu'il faut fêter comme il se doit. Nous irons ainsi au sanctuaire de Nîmes.


Ce matin là, nous  avons retrouvé le groupe déjà sur place. Nous allons déambuler parmi les nombreux marchands tous + ou - alléchants.

Ici le charcutier comme là bas, dis.

100513SantaCruzIciCestBonCommeLaBas100513SantaCruzCharcuteries

 

 

Et voici qu'Hélène et moi, sommes arrêtés par une bonne odeur de Calentica. (Plus moi qu'elle, me répète t-elle souvent)

100513SantaCruzAcheteCalentica

 

 

Un euro cinquante, la part découpée dans une calentica encore chaude, ce n'est pas cher pour retrouver le goût et les souvenirs que je partagerai avec les autres à table car il est déjà midi passé.

Ici, nous en sommes à l'apéro avec l'anisette, les fèves dans les barquettes et cette fameuse calentica.

100513SantaCruzLapéro

 

 

 

L'après midi, nous assistons à la préparation de la procession devant l'église de la paroisse.

100513SantaCruzLaProcessionSePrépare

 

 

 

Voici une vue du chassé croisé entre la montée vers le sanctuaire de Santa Cruz et la descente pour en revenir. Le Midi Libre du lendemain parlera de plus de 10 000 rapatriés présents ce jour là.

100513SantaCruzLaFouleMonteAuSanctuaire

100513SantaCruzLeSanctuaireEstPlein

 

 

 

Nous passerons devant une exposition de photos de classes des écoles d'Oran, et juste derrière le panneau, la mosquée Ibrahim Al-Khalil qui donne la couleur Magreb+ à cette journée.

100513SantaCruzFierDetrePNdevantLaMosquée

 

Quelle belle journée malgré une bonne averse.

Publié dans Famille

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H
<br /> BLoc L3 camarade d Irene Rap. Une pensee pour la petite MarieHelene batiment M.<br />
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R
<br /> <br /> Regardez ce qu'à trouvé Guy (le<br /> RS). <br /> <br /> <br /> Une carte de l'Oranie en 1933.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Pourquoi est elle intéressante ? Parce qu'il y est clairement indiqué le Barrage St Lucien ! (dont nous nous souvenons et en avons déjà parlé longuement ici dans les commentaires de cet<br /> article).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Nous pouvons y voir aussi nettement indiqué les Marais de la Macta.<br /> <br /> <br /> C'est vraiment jouissif et personnellement le nom du village de Assi ben Okba résonne agréablement à mes oreilles car nous avons du y passer plusieurs fois.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> .<br /> <br /> <br /> <br />
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I
<br /> <br /> Oui Serge !  je me souviens de cette épicerie-bazar, et d'après ton plan , moi aussi je la situerais là.  ( Je la<br /> situe par rapport au groupe scolaire , je me revoie y aller en revenant du collège, et acheter un bâton de réglisse avec mes copines... dont Marité S. - ou alors un coquillage plein d'un je ne<br /> sais quoi de sucré et de collant - et coloré!)<br /> <br /> <br /> Bises !<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> C'est vrai que c'était un quartier tranquille, et si je n'avais pas fréquenté le Lycée Ardaillon  puis suivi des<br /> cours de secourisme à la Croix Rouge, j'aurai moins connu Oran et son "centre" si animé.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Où situerez-vous la boulangerie ? le coiffeur, et le marchand de journaux ?<br /> <br /> <br /> Allez les neurones !!<br /> <br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br /> Pour moi la<br /> boulangerie se situait assez loin de notre appartement. Je dirais un peu plus loin que le Tennis Club, dans cette direction. Donc on ne la voit pas sur la photo. <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />    Une anecdote mais qu'il me semble déjà avoir raconté<br /> : En plein hiver Oranais je faisais la queue à cette boulangerie (et pâtisserie je crois) quand un couple de 25/30 ans a demandé s'il<br /> y avait des crèmes glacées. "Euh non" a bredouillé la vendeuse puis après que les clients soient partis, elle s'est adressée à moi en disant presque horrifiée : "de la glace en hiver ! vous vous<br /> rendez compte ?"<br /> <br /> <br /> <br />
S
<br /> <br /> Pour compléter la description de notre ami Pierre et pour pendant de la caserne des Gardes-mobiles, n'oublions pas<br /> la caserne des CRS, derrière la CLO, de l'autre côté de la route de La Sénia et hors de notre quartier donc. Grâce à eux tous peut-être bien, nous vivions finalement dans un quartier très<br /> tranquille, non ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Du point de vue des commerces, j'ai situé sur le plan du quartier, l'épicerie de la place St Hubert, car je me souviens surtout d'elle, non visible juste sur la gauche de la photo. Il y avait un<br /> coiffeur que Guy situait au pied du bâtiment de la CIA longé par la rue qui sépare "notre" cité de celle de<br /> l'Air. N'y avait-il pas aussi une boucherie à coté ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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R
<br /> <br /> Oui finalement. Nous étions en général, tranquille dans le quartier avec le terrain vague des cerfs volants, les<br /> chemins vers les école, collège et lycée, les petites courses chez les commerçants, l'église et les scouts. (sans oublier les balles de tennis qui retombaient au delà du grillage du Tennis<br /> Club)<br /> <br /> <br /> <br />